En cliquant sur « Accepter tous les cookies », vous acceptez le stockage de cookies sur votre appareil pour améliorer la navigation sur le site, analyser l'utilisation du site et nous aider dans nos efforts de marketing. Consultez notre politique de confidentialité pour plus d'informations
Le Masai Mara dévoile un kaléidoscope saisissant de paysages sauvages et préservés, peuplés d’une faune majestueuse et d’habitants au sourire chaleureux. Mondialement célèbre pour l’extraordinaire Grande Migration, ce sanctuaire accueille chaque année, de juillet à octobre, 1,5 million de gnous déferlant sur ses plaines infinies. Nous vous conseillons vivement de vous y rendre et de découvrir les merveilles que cachent le parc national.
Chutes de Thomson
Majestueuses et impétueuses, les chutes de Thomson dévalent une falaise vertigineuse de 74 mètres, sculptant un décor saisissant au cœur du Kenya. Nichée sur la rivière Ewaso Narok, près de Nyahururu, cette merveille naturelle doit son nom à l’explorateur écossais Joseph Thomson, qui les révéla au monde en 1883. Pionnier intrépide, il fut le premier Européen à rallier Mombasa au lac Victoria dans les années 1880.
Diani Beach
Après l’effervescence d’un safari au Kenya, pourquoi ne pas céder à l’appel d’un ultime enchantement, les pieds dans le sable ? Cap sur la côte sud, à une trentaine de kilomètres de Mombasa, où Diani Beach déploie son élégance tropicale entre lagons azur et sable immaculé. Véritable havre de quiétude, cette perle de l’océan Indien s’impose comme l’escale idéale pour prolonger le voyage en douceur. Ici, le temps s’étire entre baignades dans des eaux cristallines, sports nautiques raffinés et couchers de soleil envoûtants. Une parenthèse luxueuse, où nature et sérénité se conjuguent avec une grâce infinie. Côté vie marine, des tortues, des dauphins et des centaines de poissons colorés sont très régulièrement observés près de Diani Beach. Il est également possible de partir observer les dauphins le temps d’une demi-journée.
Wangari Maathai
Figure emblématique du militantisme écologique, Wangari Maathai a marqué l’histoire en devenant la première femme africaine à recevoir le prix Nobel de la paix et la première en Afrique de l’Est à décrocher un doctorat vétérinaire à l’Université de Nairobi. Visionnaire et engagée, elle fonde en 1977 le Green Belt Movement, une initiative révolutionnaire mêlant reforestation, lutte contre la pauvreté et apaisement des tensions sociales. Pour elle, l’environnement, la précarité et les conflits sont indissociables. « Une personne pauvre abattra forcément le dernier arbre pour préparer son dernier repas », affirmait-elle, soulignant ce cercle vicieux où la dégradation des terres ne fait qu’enfoncer les populations dans l’adversité. À travers son combat, elle a réinventé l’activisme, prouvant que chaque arbre planté est une graine d’espoir pour l’avenir.
Lac Nakuru
Une image iconique a façonné sa légende : celle d’une mer mouvante de flamants roses, par centaines de milliers, esquissant un tableau pointilliste d’une beauté irréelle sur ses eaux alcalines. Véritable chef-d’œuvre de la nature, le lac Nakuru, aux côtés d’Elmenteita et de Bogoria, a vu sa splendeur immortalisée en 2011 par l’Unesco, qui a inscrit ces joyaux aquatiques de la Grande Vallée du Rift au Patrimoine mondial. Un éden fragile, où la nature danse en nuances infinies de rose et d’azur.